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La caravane. 1: ma tante
C'est avec des mains fébriles que je tape sur mon petit clavier: en parcourant votre site je suis tombé sur les confidences des lecteurs et après quelques longues hésitations j'ai décidé de raconter ce qui m'est arrivé en ce mois de juillet .
Je venais juste d'avoir 18 ans (comme dans la chanson) et pour débuter mes vacances ma mère, suite à un différant assez houleux avec elle, m'envoya « de force » avec mon oncle et ma tante en camping, dans le sud de la France. En fait pour être vraiment précis, il ne s'agit pas de mon vrai oncle car c'est le frère de mon beau-père. Enfin comme je les connais depuis tout petit, c'est tout comme.
Bref je me retrouvais donc au fameux camping des C'. avec eux et ma détestable cousine, une espèce de pouf de 3 ans ma cadette et son blaireau de frère. J'étais un peu déprimé car tous mes potes étaient parti en Corse dans une maison qu'ils avaient loué pour l'été, autant dire que j'étais même vénère. Bref j‘essayais tant bien que mal de faire passer mes journées entre la plage et la salle de jeux du bar d'à coté, quand un évènement inattendu arriva vers le début du mois de juillet.
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Avant de vous en parler je dois d'abord vous présenter celle par qui le « scandale » arriva : ma tante (J') : blonde décolorée virant vers le châtain, la quarantaine, plutôt pas trop mal pour son âge mais pas canon non plus, yeux vert et bonne poitrine, fausse blonde (comme je le verrais plus tard), un regard un peu sévère et caractère de cochon (comme son fils) Je dois avouer qu'elle ne me faisait pas vraiment fantasmer. A l'époque j'avais une copine depuis presque un an ( qui se retrouvait d'ailleurs avec mes copains en Corse, la haine !) et j'étais plutôt attiré par les filles de mon age.
Donc, alors que je m'ennuyais ferme avec ma famille de beauf, arriva ce petit bouleversement qui allait changer bien des choses pour moi : un après midi où il faisait très chaud, mon oncle et mes cousins décidèrent de louer un petit bateau pour aller se baigner dans une des calanques du coin. L'idée de me retrouver dans 20 m2 avec ma cousine et mon cousin ne m'attirait pas des masses et je déclinais leur offre, prétextant que j'avais trop fait la fête la veille avec les rares copains que je m'étais fait et que je voulais me reposer (ce qui était partiellement vrai). Ma tante n'étant pas « la reine du bateau « comme elle le disait, préféra rester elle aussi et passer sa journée à dorer son corps déjà bien bronzé au soleil à la plage. Une fois les blaireaux partis j'allais faire une petite expédition à la salle de jeu mais mes potes n'étaient pas là. La chaleur étant tellement forte je décidais alors d'aller me baigner.
Arrivé dans ma tente, je ne retrouvais plus mon maillot de bain. Je me rappelais alors que ma tante l'avait lavé la veille et qu'il devait soit sécher dehors, soit être encore dans le panier à linge dans leur caravane. Comme il n'était pas dehors, je me dirigeais donc vers la caravane. Je frappais d'abord au cas où ma tante serait là et n'obtenant pas de réponse, je rentrais.
Il faisait sombre à l'intérieur, quelqu'un avait tiré les rideaux. Je m'avançais vers le panier posé sur le frigidaire, quand soudain un soupir me fit sursauter : ma tante était en train de dormir, nue sur le lit, l'unique drap ayant glissé sur ses jambes, me laissant découvrir ses bonnes fesses blanches contrastant avec sa beau bien bronzé. Je ne l'avais pas vue en arrivant dans la pénombre et je restais quelques secondes pétrifié par ce que je voyais. Elle était allongée sur le ventre, me tournant le dos, une de ses jambes était légèrement repliée et m'offrait un bien joli spectacle : une bonne grosse chatte comme je n'en avais jamais vu. C'est vrai que je n'avais pas encore beaucoup vu de minette en vrai dans ma vie ( depuis ça s'est arrangé un peu, merci), mais la foufoune de ma copine de l'époque était bien fine à coté. C‘est la que je constatais que c'était une fausse blonde.
Après quelques secondes de « paralysie », je m'aperçu que je commençais à avoir une bonne trique et je me décidais alors à prendre mon maillot, le plus discrètement possible. Même si je crevais de trouille, elle m'avait tellement échauffé que je n'arrivais pas à partir. Moi d'habitude si trouillard me vint alors une envie soudaine : je m'approchais le plus discrètement possible d'elle puis me penchais au-dessus de ses fesses : mon nez à quelques centimètres de son minou, je respirais un grand coup. Je me rappellerai toute ma vie ce moment d'excitation intense partagé entre la peur de se faire découvrir et le bonheur de sentir ce parfum mélangé de sexe et de sueur. Malgré les poils abondants, je distinguait nettement ses deux grosses lèvres bien épaisses qui semblaient me narguer. La naissance de son anus brun (non épilé, évidemment) entre ses deux fesses charnues me fit battre mon coeur à deux cent à l'heure. Prudemment je me détachais de ce spectacle enivrant. Je m'apprêtais !
à partir quand j'aperçus alors sa culotte posée sur ses affaires qu'elle avait laissée prés du lit. Il me fallut que deux secondes avant de réagir et de la saisir instinctivement avant de rejoindre très rapidement la porte. C'est à ce moment là que je l'entendis bouger derrière moi. Je sorti précipitamment en refermant la porte le plus discrètement possible et je m'enfuis vers les douches où je me branlais frénétiquement, le nez dans sa culotte. Quand je fus un peu calmé (merci la douche froide), j'allais me baigner à la mer, toujours imprégné de son odeur, mais assez loin de la place favorite de ma tante. Je ne savais pas si elle m'avait vu m'enfuir et je voulais retarder la confrontation qu'il y aurait le plus tard possible.
Le soir, je revint tout penaud au camping. Mes cousins et mon oncle étaient déjà revenus et tout le petit monde était à table, y compris ma tante. Je m'excusais du retard et après être aller cacher la culotte dans mes affaires, je revint à table et m'assis en face d'elle.,J'évitais de croiser son regard et passais le reste du repas à écouter les aventures aquatiques de mon connard de cousin. L'excursion leur avait tellement plu qu'ils avaient décidé de remettre ça le lendemain voir la semaine, mon oncle ayant peut être des réductions grâce à une « relation ». Au cours de la soirée je croisais juste une fois le regard de ma tante mais je ne lu rien de particulier dedans. Il faut dire qu'avec son regard sévère, on ne sait jamais ce qu'elle pense.
Je me demandais avec émotion comment elle avait réagit en ne retrouvant pas son slip et si elle me soupçonnait.
Le soir dans ma tente, je n'arrivais pas à dormir, enfouillant sa culotte odorante sur mon visage, m'imprégnant de son odeur animale qui m'excitait toujours autant. Il faut dire que je n'avais pas baisé depuis un petit moment et ça commençait à « déborder ». A bout d'un moment je dus aller me branler encore une fois dans les toilettes pour me calmer et me reposer un peu.
Le lendemain ne trouvant pas d ‘excuse pour éviter la croisière, je passais la journée à la calanque et, ma foi, ce fut plutôt agréable : je m'amusais avec mes cousins à sauter des falaises, et je les trouvais même presque sympathiques en fin de journée. Quand nous revîmes à la caravane, j'en avais presque oublié ma tante mais quand je la revis le soir, je ne pus m'empêcher de la déshabiller du regard et mes fantasmes revinrent à la surface. A présent je commençais à m'inventer des histoires cochonnes avec elle et le soir la veuve poignet était mon seul somnifère, le nez dans son odeur. Pendant deux jours ou trois, je ne sais plus, je passais mes journées au bateau et le soir je restreignais mes contacts avec ma tante, la retrouvant la nuit dans mes rêves grâce à son slip qui commençait à perdre de son attrait. J'en étais venu à penser qu'elle ne s'était rendu compte de rien et je commençais à me calmer un peu. Pourtant c'est au bout de quelques jours qu'un nouvel événem!
ent remit ce calme potentiel en péril.
A suivre .
........Ambre........ |
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